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guten tag ! ohayo gozaimasu ! bonjour et bienvenue ! good morning and welcome ! buenos dias, encantado !

Ô toi bloggeur mon adoré sache que je vais te dédier aussi longtemps que l'ivresse des sens me coulera dans les veines un petit bout de prose quotidienne, sur les sujets que je préfère, notemment le cul, les mangas, la viande d'Argentine, les traductions des incunables du XIIe siècle et la guitare basse dans le métal contemporain. enfin, pas toujours en même temps, mais il y auras bien un truc qui vous intéresseras quand même, dans le tas.
Lundi 17 juillet 1 17 /07 /Juil 14:22
            Je me suis abonné à la Cinémathèque française (la nouvelle, rue de Bercy) histoire de faire intello pété de thunes auprès de ceux et celles qui ne me connaissent pas. Le premier film que je suis allé voir, c'était hier, c'était Soleil Vert (Soylent Green) en VO bien sur, du touche-à-tout Richard Fleischer. N'étant absolufactement pas au courant de l'incommensurable horreur de ce flim, je suis allé le voir le ventre vide. Ca s'appelle tenter le diable.






















          Le film a vieilli, certains détails peuvent donc faire effectivement sourire. Mais après les circuits de la vache folle, dont on a démontré qu'elles étaient nourries de farine animale contaminée, on ne peut pas voir ce film qui traite d'une humanité surpeuplée et se nourrissant de ses centres d'euthanasie comme une allégorie de ce qui se produit d'ores et déjà pour les usines à bestiaux, poulets, cochons et consorts.
          Alors bien sur, on peut objecter un nombre incalculable de données et de remarques à cette prédiction catastrophique (la stabilisation de la transition démographique autour de 11 milliards grand max en 2050, le développement des énergies propres...). Charlton Heston au bout de deux heures commence à en faire un peu trop, et à s'avérer aussi piètre tireur en fiction qu'en réel.
          Mais l'essentiel, le message de fond de ce film impressionnant, c'est le nouveau rapport à l'homme que les années 1970 et l'entrée dans cette crise économique larvée et généralisée ont suscité au sein des sociétés développées : l'idée que la vie de l'homme peut ne pas avoir de valeur, qu'un homme peut être entièrement une charge pour un système de société. C'est un rapport mécanique qui repose sur le mépris constant du travail, puisque la machine nous en débarrasse et que les pauvre travailleurs ne sont plus que des émeutiers, voleurs et assassins en puissance sinon en actes.
          Mais je m'emporte, je m'emporte... Il est tout simplement difficile de porter un avis sur un tel film, car il est d'un point de vue historique l'exacte reflet des peurs des sociétés industrialisées des années 1970. Certaines de ces peurs ont disparues, comme celle de la surpopulation, d'autres restent en suspens comme l'effet de serre ou surtout l'alimentation industrielle. A noter que le débat sur la légalisation de l'euthanasie trouve là un écho surprenant : finalement, si il est considéré aujourd'hui que l'euthanasie est une solution plus humaine pour certains, c'est bel et bien un changement des notions de valeur autour de la vie humaine qui se produisent dans notre société, bien que cela ne soit pas celui aussi cynique que dans ce film.
          Enfin, à noter pour les cinéphiles, c'était le dernier film d'Emerson (le vieux à droite), atteint d'un cancer en phase terminale, ce qui rend la scène de sa mort terriblement réaliste, Heston étant un des seuls alors vraiment au courant et pleurant de vraies larmes. Quel effet cela doit faire, pour sa dernière ligne de son dernier film, jouer avec deux semaines d'avance le spectacle de sa propre mort...
         
Par Thomas-senseï - Publié dans : Hier à la Cinémathèque
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Mardi 11 juillet 2 11 /07 /Juil 15:59

Il y a quelques jours, on discutait tranquillement quand un de mes copains s'est exclamé : "Hé ! Les gars, j'ai lu quelque part qu'il y avait des hormones femelles dans la bière !" Comme on aime bien les expériences, on a décidé de tous boire une dizaine de bières pour vérifier ses dires...

Au bout de dix bières : nous avions tous pris du poids, nous parlions beaucoup pour ne rien dire, nous ne pouvions plus conduire correctement, il nous était impossible de tenir un raisonnement simple, nous refusions obstinément de reconnaitre que nous avions tort même lorsque cela était évident, et pour couronner le tout, on allait pisser toutes les cinq minutes.

Nous pensons qu'il est inutile de pousser les tests plus loin... Il y a bien des hormones femelles dans la bière. Spéciale dédicace à une certaine Sophie de Montpellier en stage à Paris et de passage aux Solidays samedi.

Par Thomas-senseï - Publié dans : glandouille
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Vendredi 7 juillet 5 07 /07 /Juil 09:45

J'étais mercredi soir au stade Charlety pour voir la victoire in extremis sur un penalty discutable de l'équipe de France, qui m'a semblé en mauvais état physique comme face à la Suisse ou la Corée du Sud. Franchement, j'ai été déçu par ce match, qui comporte un nombre de ratages impressionnant.

J'ai appris jeudi midi qu'il y avait eu des bagarres à la sortie de Charlety (je crois même qu'il y a eu un mort mais c'est la rumeur, et j'ai pas vérifié dans les infos). Tout ce que je peux vous dire, c'est que le stade était plein à craquer, tribunes et pelouse, mais dans une large proportion mixte, principalement des couples ou des bandes de copains avec des filles. Face à ça, il y avait... 20 flics plus le personnel de sécurité. Donc pour gérer 100 000 personnes, il n'y avait qu'une vingtaine de mecs...

Le RER était filtré par un barrage d'une quinzaine de flics à la sortie. Cela signifie que seul le personnel d'ordre du stade était encore sur les lieux, pour gérer 100 000 personnes bourrées, gueulantes et ivres de joie. Il n'est donc pas étonnant que j'ai vu des échauffourées se déclencher malgré le caractère très bon enfant de la soirée (d'ailleurs il y avait des enfants, mais plus dans les gradins, pas sur la pelouse). Ca donnait un petit coté "eh bien nous suivons le match de l'équipe de France en direct de Sarajevo" à cause des feux d'artifice tirés à l'improviste dans n'importe quel sens et du lynchage à coup de mottes de terre de toutes personnes qui se levaient pour cacher le tout petit écran au fond du stade.

A la sortie des mecs bourrés s'en sont pris aux filles seules mais leurs copains les retenaient, on sentait quand même qu'il y avait un minimum d'autorégulation ("fais pas le con, allez viens, on s'ne fout, laisse les" après une baffe pour une main aux fesses). Je ne croyais vraiment pas que ça allait dégénérer. Bon, plus que trois jours et on n'en parle plus, de toute façon je serais aux solidays !

@+ tous !

 

Par Thomas-senseï - Publié dans : glandouille
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Mercredi 5 juillet 3 05 /07 /Juil 13:01

L'obésité se définit comme un état caractérisé par un excès de masse adipeuse répartie de façon généralisée dans les diverses zones grasses de l'organisme. Cela peut entraîner de graves inconvénients pour la santé.

Pour évaluer l'obésité, il faut tenir compte du poids et de la taille selon un calcul appelé Indicateur de Masse Corporelle (IMC).

IMC
= masse (kg)/taille (m)2
= masse/(taille × taille)

Un IMC entre 18,5 et 25 est considéré comme normal. Entre 25 à 30, on parle de surpoids (surcharge pondérale). Au-delà de 30, on parle d'obésité et de 30 à 35, d'obésité sévère ; au-delà de 40 c'est l''obésité morbide.

De manière paradoxale, de mauvais régimes favorisent le surpoids. La perte de masse musculaire entraîné par le régime est compensée de manière accélérée dès la fin du régime. 

La chirurgie bariatrique se divise en deux types d’interventions. Les premières visent à réduire la capacité gastrique, c’est-à-dire le volume utile de l’estomac. Les secondes, dites mixtes, associent à cette restriction gastrique la création d’un système de dérivation dans le tube digestif afin de diminuer l’absorption des éléments nutritifs par l’intestin. Ces techniques sont pratiquées par incision de la paroi abdominale (laparotomie) et, depuis quelques années, par laparoscopie.

maintenant, tout autre chose plus marrant ICI

Par Thomas-senseï - Publié dans : glandouille
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Lundi 3 juillet 1 03 /07 /Juil 09:26

Sincèrement, il y a de grandes chances pour que l'Europe intéresse de nouveaux ses habitants, avec une campagne de promotion comme celle-ci...

Enfin, note mondial (et oui je suis un mec) : seules des nations européennes restent en lice pour les demi-finales de la Coupe du monde de foutchebeaul. Le sexe et le foot, 2 composantes européennes fortes encore méprisées et oubliées par les politiques de nos jours.

Par Thomas-senseï - Publié dans : glandouille
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